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TABLE DES MATIÈRES 453

CHAPITRE XVI

Les frais de la conquête. — Sang. — La résistance probable. — L’armée marocaine. — Ibn-Khaldoùn. — Ali--Bey. — Erckmann. — La Martinière. — Les diplomates voient la conquête non pas au conditionnel, mais au futur. — L’opinion qu’on a des forces marocaines est erronée. — De Foucauld. — Mac-Lean. — Mauvaise méthode des Européens pour juger. —Il n’y a pas de soldats au Maroc, mais ily a des guerriers. — On doit raisonner sur des faits. — La résistance marocaine exigerait trop desang . . . . . . . . . . . 224

CHAPITRE XVII

Frais d’argent. L’intérêt permet-il de les risquer ? Les retrouverait-on. Pas de trésor à prendre. — Contribution ‘ deguerreimpossible, puisqu’on annexerait. — Lesimpôts -ne permettraient pas l’amortissement. — La puissance de rendement du Maroc. — Où apparaît la question juive. — Elle complique la conquête et la rend excessivement dangereuse. — Les tueries certaines, — Et la concurrence juive certaine ne permettant pas la colonisation commerciale. — Apparente mais irréelle prospérité qui suit les guerres et cuincide avec l’établissement des conquérants. — Critérium de la prospérité d’un pays. — Cômparaison avec l’Indo-Chine. . . . 238

CHAPITRE XVIII

Les partisans de la conquête ne sont point logiques dans leur appréciation du fanatisme musulman. — Analyse du fanatisme en général et du fanatisme musulman en particulier. — Le secret de l’Islam. -- Les confréries religieuses au Maroc. — Edouard Cat. — Depont et Coppolani, leur énumération des confréries marocaines. — Leur appréciation de cette force. — Il ne faut cependant pas exagérer. — Augustin Bernard. — Le fanatisme n’empéche pas le Maroc d’être conquis par le commerce. — Reclus . . . 254