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Deuxième catastrophe.


L’autre n’est rien à côté
De longs voiles crêpés
J’en vois comme des milliers
Le feu va y passer
Et cela sans tarder
Une catastrophe aisée
Dont on n’a pas idée.
Des hommes vont griller
J’en vois plus d’un millier.
Et puis, comme à côté,
Je vois des chairs glacées,
Une fièvre passée,
Je vois, sera redonnée.
Je vois les flammes s’élever
Dans un endroit aisé
Qui n’est pas éloigné
De celui qui a été.

Écho, 1897, page 234 (Tilly).

Louise Polinière voit les détails de la deuxième catastrophe, les hommes se tordant dans les flammes. Un éboulement doit accompagner ce sinistre. Le nom de la rue ou de l’endroit commence par Mar…

Écho, 1897, page 257.

Marie Martel, dans un entretien dit : L’incendie du Bazarde la Charité n’a été qu’un premier avertissement. Si la France ne fait pas pénitence, un autre avertissement plus terrible lui sera donné, ce sera une catastrophe épouvantable produite par le feu encore, et où il périra beaucoup plus de monde que dans l’incendie du bazar de la Charité. Si après ce dernier avertissement les hommes ne reviennent point à Dieu, alors les grands châtiments commenceront.