Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
Le 12, on apprit que des bandits pillaient à Bellefontaine et au Carbet. Cinq gendarmes les pourchassèrent.
Le 13, un poste de surveillance fut établi à Saint-James.
Le 14, ils prirent quarante-cinq pillards.
Le 15, ils firent dix-sept arrestations.
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/9/91/La_Catastrophe_de_la_Martinique_%28Hess%29-p127.jpg/500px-La_Catastrophe_de_la_Martinique_%28Hess%29-p127.jpg)
Rue Victor-Hugo, 11 mai.
Le 20, ils furent exposés à la deuxième éruption. Le poste de Saint-James dut fuir devant la pluie de pierres.
Etc…, etc…
Ajoutez à cela le service de renseignements dans les communes du Nord, puis la police dans toute une région où circulaient des pillards en quête d’habitations abandonnées à dévaliser, et vous ne vous ferez encore qu’une faible idée de la besogne écrasante dont fut chargée la brigade de la Martinique, besogne qu’elle