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Les Baisers.

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III.


A VERSAILLES.




Autrefois, sans troubler la solitude auguste
Du palais somptueux de Versailles, devant
La beauté délicate et royale d’un buste
Au port de tête altier, à l’œil presque vivant,
 
Mon cœur jeune exhala de longs soupirs souvent !

Buste de femme noble à la coiffure haute,
A la lèvre charnue, au nez mince et busqué,