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jeta à bas d’un guéridon l’arbuste artificiel sur les branches duquel le lieutenant Coquillard avait fait reposer une douzaine d’oiseaux-mouches.

Quand les oiseaux-mouches furent par terre, Tom leur défrisa les plumes, en veux-tu, en voilà, de la belle manière !

Puis, comme il reconnut que ce n’étaient pas de vrais oiseaux, des