solument les sacrifices que son père faisoit pour lui, l’aversion que lui inspiroit l’étude, étoit trop décidée pour qu’il put faire des progrès. Peut-être sa mère avoit contribué en partie à cette indolence ; il avoit toujours été son favori y à la maison elle ne souffroit jamais qu’on le contrariât, à moins que lui même ne fût en opposition avec elle ; souvent elle faisoit entendre qu’elle ne concevoit pas pourquoi l’on s’obstinoit à le diriger vers une profession quelconque, tandis qu’il étoit destiné à être un jour propriétaire de Downton. Ce langage étoit plus qu’indiscret ; Henry, cependant eut assez de bon sens pour reconnoître la nécessité de se créer des ressources, et il promit d’étudier les lois.
Mourtray se chargea lui-même de l’éducation de sa fille, et cette entreprise n’étoit pas au-dessus de ses forces ;