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SERREMENT DE MAINS


Songeant à sa maison, grande parmi les grandes,
Plus grande qu’Iñigo lui-même et qu’Abarca,
Le vieux Diego Laynez ne goûte plus aux viandes.

Il ne dort plus, depuis qu’un sang honteux marqua
La joue encore chaude où l’a frappé le Comte,
Et que pour se venger la force lui manqua.