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pas bon marché son entrée dans ce lieu en abandonnant toutes ses possessions ?

J’ai suivi jusqu’à leur source la faiblesse et la maladie sociale. J’ai montré le remède. J’ai couvert chaque point, j’ai réfuté chaque objection. Mais les problèmes que nous avons étudiés, quelque grands qu’ils soient, se fondent dans des problèmes plus grands encore, dans les problèmes les plus considérable que puisse saisir l’esprit humain. Je demande au lecteur qui m’a déjà suivi si loin, de me suivre dans des régions plus élevées et plus lointaines encore. Mais je lui demande de se rappeler que je ne puis traiter à fond ces nouvelles questions dans l’espace limité dont je dispose. Je ne puis que lui suggérer quelques pensées qui pourront peut-être lui servir de fondement pour une étude plus complète.