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fait avec la voyelle suivante qu’une seule syllabe, comme dans le français yeux.

Et l’on pardonnera ces minuties à un auteur qui aurait l’ambition, non seulement d’initier aux beautés d’une littérature plus célèbre que sainement appréciée, mais, s’il était possible, de faire gouter le charme mélodique de la langue forte et suave qui a servi d’interprète à ses chefs-d’œuvre.

V. H.

Sceaux (Seine), le 24 février 1904.