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OLIVIER.

ment, et contenant entre autres papiers la pièce qui suit :

« D’après les conseils mêmes que vous m’avez donnés, mon digne ami, voici les arrangemens que je fais pour ma fortune. Je vous donne les pouvoirs les plus généraux pour en faire de mon vivant l’emploi suivant : ces dispositions seront mon testament après ma mort.

Comme votre bien est assez grand pour vos goûts simples, je ne vous offrirai qu’un modeste souvenir de ma bonne et ancienne amitié ; c’est ma bibliothèque formée par mon père, et la montre de Berthoud que je tenais de ma mère.

Je donne aux pauvres de la paroisse de Saint-Louis des Invalides quatre mille livres de rente perpétuelle, et mille livres à M. Comte, son digne curé, auquel je demande de prier Dieu