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THÉORIE ÉLASTIQUE DE LA LUMIÈRE
vient :
et étant indépendants du temps.
Si donc on a pour
et
est identiquement nul. C’est ordinairement ce qu’on suppose
et les équations du mouvement prennent alors la forme :
(III)
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Posons :
(IV)
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Cette relation ne définit qu’à une constante près, nous supposerons
que pour on a:
Nous poserons de même :
(IV)
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