Page:Henri Poincaré - Théorie mathématique de la lumière, Tome 2, 1892.djvu/273

Cette page a été validée par deux contributeurs.
261
PAR LES MILIEUX ANISOTROPES

étant l’indice de réfraction, et pour partie imaginaire le coefficient d’absorption et posons

(suivant une remarque que nous avons déjà souvent faite, nous ne conserverons en définitive que les parties réelles de ces expressions (§ 22-23).)

D’après cela :

L’équation (4) peut s’écrire

(5)

Posons :

sera encore un polynôme homogène du second degré par rapport aux

Introduisons ces expressions dans les équations (3) et (5), nous trouvons :

(6)