Page:Henri Poincaré - Théorie mathématique de la lumière, Tome 2, 1892.djvu/246

Cette page a été validée par deux contributeurs.
234
THÉORIE DE LA DISPERSION DE HELMHOLTZ
 Les corrections sont expliquées en page de discussion

Ces relations montrent que, si à l’origine des temps

sont nuls, il en est de même de toutes leurs dérivées par rapport au temps : donc et sont identiquement nuls.

Par conséquent, si on part du repos, et sont toujours nuls.

Il en sera encore de même si le mouvement est périodique.

Posons en effet :

et ne dépendant que de

Nous avons vu déjà que, si la partie réelle de cette expression satisfait à des équations de la forme des équations (3) et (4), l’expression entière y satisfait également.

Nous aurons :

Substituons dans les équations (5)

Dans la seconde équation le coefficient de devant être nul, la première donne alors