Écrivons maintenant les conditions aux limites ; et doivent être continus quand on traverse la surface réfléchissante :
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mais les dérivées par rapport à sont négligeables vis-à-vis des autres termes, et on peut écrire :
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Supposons qu’à l’origine nous ayons une perturbation se propageant vers la surface réfléchissante, mais circonscrite dans une certaine région, n’ayant aucun point commun avec cette surface ; nous nous donnons qui est nul d’ailleurs en dehors de la région considérée ; de même et sont nuls. Nous pourrons calculer alors les valeurs de à un instant ultérieur à l’aide des équations ci-dessus.
Si le milieu inférieur est le plus réfringent ou si le contraire ayant lieu, l’angle limite n’est pas dépassé, il n’y a rien à ajouter ; les trois équations (2) signifient que la propagation se fait perpendiculairement au plan de l’onde. Mais, s’il y a réflexion totale, devient imaginaire. Posons :
Alors :
La présence de ce cosinus a induit Cauchy en erreur. Il a conclu que ce rayon se propageait parallèlement à c’est-