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THÉORIE MATHÉMATIQUE DE LA LUMIÈRE

à un mouvement longitudinal. Nous aurons, d’après ce qui précède :

et, par suite,

satisfaisant à l’équation différentielle des mouvements transversaux,

Différentions successivement par rapport à et additionnons : nous aurons

relation qui, d’après nos hypothèses, se réduit à

D’après l’équation de Poisson, la somme des dérivées secondes du potentiel en un point est égale à étant la densité de la matière attirante au point considéré ; on aura donc une fonction satisfaisant à la relation

en cherchant le potentiel dû à l’attraction d’une matière at-