Page:Henri Poincaré - Théorie mathématique de la lumière, Tome 1, 1889.djvu/56

Cette page a été validée par deux contributeurs.
42
THÉORIE MATHÉMATIQUE DE LA LUMIÈRE
et

Par conséquent, les équations du mouvement deviennent :

(38)

Elles contiennent deux coefficients arbitraires, qui se réduisent à un seul dans le cas où les forces sont centrales et la pression extérieure nulle dans l’état d’équilibre. On a vu, en effet (27), que l’on avait alors :

ce qui donne

34. Mouvements longitudinaux et mouvements transversaux. — Nous allons montrer que le mouvement d’une molécule d’un milieu isotrope peut être considéré comme résultant de la superposition de deux mouvements ; nous appellerons l’un, mouvement transversal, l’autre, mouvement longitudinal, et nous justifierons plus tard ces dénominations.