et qui vient couper en le rayon lumineux
Fig. 28.
En ce point
menons le plan tangent à la surface de l’onde et abaissons
du point une perpendiculaire sur
ce plan tangent ; nous appellerons le
chemin que la lumière aurait parcouru
dans le premier milieu pendant le temps
que met dans le second milieu un ébranlement
parti du point pour parvenir
au point ou en un point quelconque
de la surface de l’onde qui passe en
Prenons ensuite sur le prolongement de un point tel que :
Joignons ; le plan mené par parallèlement à s’appelle le plan polaire du rayon réfracté considéré.
Il résulte de cette définition que si l’on change la direction du plan de séparation en faisant varier en même temps la direction du rayon incident, mais de telle façon que celle du rayon réfracté ne change pas, le plan polaire ne changera pas non plus, pourvu que l’indice de réfraction du premier milieu soit resté le même ; la direction de ce plan dépend au contraire de l’indice de réfraction du premier milieu.
Voici maintenant en quoi consiste le théorème de Mac-Cullagh.
Dans le cas de la réfraction uniradiale, on obtiendra le déplacement d’un point quelconque du premier milieu en composant les déplacements dus à la vibration incidente et à la vibration réfléchie ; quant au déplacement d’un point du se-