Page:Henri Poincaré - Théorie analytique de la propagation de la chaleur, 1895.djvu/285

Cette page n’a pas encore été corrigée

276 REFROIDISSEMENT DE LA SPHERE que soit e, J0 tend vers T:YV (<f0)i el h vers u quand n croit indéfiniment. Nous supposerons que l'on prend toujours e < e0, e0 étant une quantité fixe plus petite que <|, — ^0; on aura alors entre les limites de l'intégrale Jt : M étant un nombre fixe, d'où : D'après les hypothèses faites, le second membre de l'iné- galité (1), d'ailleurs indépendant de n, tend vers 0 avec s. Voici donc comment on pourra conduire la démonstration. quel que petil que soit Y,. Pour cela je prendrai d'abord e assez petit pour que : Le nombre e élaut désormais fixe, je prendrai n assez grand pour «pie : ce qui entraînera l'inégalité (2).