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CHAPITRE XXX.
gènes, le premier d’ordre le second d’ordre et les deux
derniers d’ordre
Nous avons d’ailleurs
Remplaçons par ces valeurs, et en même temps par
dans les équations (5) et (5 bis) où l’on doit supposer que l’on a
fait k=1, et servons-nous-en pour déterminer
Nous avons ainsi les six équations suivantes
(7)
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Considérons d’abord la seconde de ces équations ; le second
membre est un polynôme entier homogène et du troisième degré
par rapport à
dont les coefficients sont des fonctions périodiques de de
période Comme est commensurable, notre second membre
sera aussi une fonction périodique de dont il dépend de deux
manières, par qui est égal à par et qui sont des fonctions
de
La période sera multiple de c’est-à-dire égale à autant de
fois qu’il y a d’unités dans le dénominateur de
Notre second membre pourra donc se développer en série de
Fourier sous la forme
(8)
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où et sont des entiers. Mais ne peut dépasser 3 en valeur
absolue puisque notre second membre est un polynôme du troisième degré.
Il résulte de là qu’en général la valeur moyenne du second