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DIVERGENCE DES SÉRIES DE M. LINDSTEDT.
firmer que ce fait ne se présentera pas. Tout ce qu’il m’est permis
de dire, c’est qu’il est fort invraisemblable.
Comparaison avec les méthodes anciennes.
150. Je n’ajouterai qu’un mot : quel est, à défaut d’un moyen
d’assurer la convergence des séries, le meilleur choix à faire des
valeurs moyennes des et des ? Je crois qu’il convient de
choisir ces valeurs moyennes de telle façon que les et les
(à partir de et de ) s’annulent pour de telle façon que
les représentent les valeurs initiales des et les les valeurs
initiales des
Si ensuite, on considère les séries ainsi obtenues
(1)
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les les et les dépendront de si l’on développe ces
quantités suivant les puissances de puis qu’on ordonne suivant
les puissances croissantes de les seconds membres des équations (1),
on obtiendra le développement selon les puissances de
de celle des solutions particulières de nos équations différentielles
qui admet et pour valeurs initiales des et des
On sait que ce développement est convergent pour les valeurs
de suffisamment petites.
Soit
(2)
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les et les sont des fonctions du temps non périodiques, mais
ne dépendent plus de de plus, ces fonctions s’annulent de
même que les et les pour
De la façon dont nous venons de déduire le développement (2)
du développement (1), il est permis de tirer quelques conséquences
au sujet de la forme du développement (2).
Ainsi, pour obtenir il suffit de faire dans l’expression
de Rappelons comment dépend de est une fonction