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182 LEÇONS SUR LA THÉORIE DE l'ÉLASTICITÉ La première relation différentiée donne : cp' [œ) — cp; {—x)=o Il en résulte : cp'(£C' = Z'j^ (— /?) = o <p et (f^ sont donc des constantes que je puis supposer nulles, d'après une remarque 'aile p' is haut, puisque leur somme est nulle. cp et <p^ seront donc nuls 'outes les fois que leur argument sera supérieur à a?^. L'argument de (p, c'est-à -dire bt -\- oc, est toujours, dans la région située du côté des œ positifs à partir de x^, supérieur à Xq. Doncpoura; > a?,, ona:

=cp^[bt—x)

etpoura;<—ûj^, ç=: <p^ (bt4-x) Écrivons les conditions aux limites ; \ doit être le même pour X = ii'Q , qu'il soit considéré comme déplacement d'une particule d'air ou d'une particule du corps élastique. Donc on doit avoir, quel que soit t : (1) F(at+x^)+F(«<-x^=cp,[bt—X,) La considération de x ^= — x^ donne évidemment la même équation. La pression doit pour x = Xq être la même dans