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Le problème semble donc résolu d'une manière satisfaisante. Il n'en est rien encore cependant. Reprenons l'équation dont dépend - Elle a été tirée d'une équation différentielle (que j'écris en sup- primant le second membre qui dépend du champ magnétique et est très petit). Mais d'après la définition même des X'K, le coefficientl'1 doit être nul. Il reste donc, On voit que dans cette équation différentielle le déplacement électrique n'entre pas. La coordonnée pourra donc éprouver des oscillations, mais ces oscillations ne se communiqueront pas à l'èther. La solution qui précède est donc illusoire. Nous sommes donc réduits à supposer k> et P" =p1, m"i=o, l'1 o. Soient alors, X"i, Y", Z"i et TK les coordonnées qui ne s'annu- lent pas ; l'expression de J sera de la forme,