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comme ceux des équations (a) sont très petits. Annulons-les en première approximation et faisons p=p1 ; nous obtiendrons une série d'équations linéaires entre les quantités XK, YK, ZK' T\. En vertu de ces équations un certain nombre de ces quantités s'an- nuleront. Par exemple XK s'annulera si pK n'est pas égal àp1 et Tk s'annulera également si qK n'est pas égal à pr De plus, celles de ces quantités qui ne s'annuleront pas, pourront ne pas rester indépendantes, mais il pourra y avoir entre elles certaines rela- tions linéaires. Pour mieux mettre le fait en évidence, je distinguerai parmi (17 les ZR deux catégories : ceux pour lesquels sera nulle et que ' j'appellerai les X'K

ceux pour lesquels cette dérivée ne sera pas

nulle et que j'appellerai les ZK. J'appellerai XK et Y'K les XK et les YK qui correspondent aux ZK' et XK et YK ceux qui correspon- dent aux ZK. Je poserai z =lKZK, et je désignerai par p'K et l'K les valeurs des coefficients PK et IK qui correspondent aux Z'K, par pK et celles qui correspondent aux ZK ; il résulte de cette définition et de celle des 7'K que tous les l'K sont nuls. Nos équations (b) privées des seconds membres s'écriront alors quand on y aura fait p=p1 avec K On peut toujours supposer qu'un au plus des pK est égal a pi ;