ou, en tenant compte de (11) Nous aurons de même en différentiant par rapport à la seconde variable y, L'équation (14) nous donne
c'est la dispersion chroma- tique ordinaire, c'est-à-dire la variation de l'indice avec la cou - leur. L'équation (i5) nous donne la valeur de dont dépend la polarisation rotatoire magnétique. En comparant ces deux expressions (14) et (i5) nous voyons dn dn • de que ~ et —-— sont entre eux comme lesderivees partiellesn —— de et— . T Calculons ces deux dérivées partielles. Nous avons d'abord, mais 3 est très petit par rapport au premier terme ; on peut donc le négliger et il vient alorà et d'autre part dn du ~ et sont donc entre eux comme 21 et (P3. Et bien, si l'on suppose que les quanlitéseksont proportionnelles à K (hypothèse qui n'est pas loin de la vérité) le rapport —- est 3