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mente aussi, par conséquent n diminue : ce qui explique le spectre anomal observé. 400. Remarque. — Nous avons dit précédemment que les équations pouvaient s'interpréter en disant que — p2' —fX = maximum. Nous pouvons représenter la chose sous une autre forme. Ecrivons les équations symétriques de la précédente ; on aura alors le système, posons maintenant, nos équations (i-) signifient alors que l'expression suivante -p2' — fX— gY — hZ est maximum, c'est-a -dire que sa dérivée par rapport à XK est nulle. 401. Dispersion dans les cristaux. —La remarque que nous venons de faire sert à passer à la dispersion dans les cristaux. Supposons, en effet, que nous ayons affaire à un corps aniso- trope, un cristal orthorhombique par exemple, qui a trois