~ = formule équivalente à la première des for- mules (13) dans un milieu non magnétique. Maxwell admet sans démonstration que ce sont les formules (i3) qui conviennent dans le cas d'un milieu magnétique; ou plutôt, il définit, à propos du magnétisme, les quantités F, G, H, par les équa- tions (i3), et les appelle les composantes du potentiel vecteur de l'induction magnétique (')
deux cents pages plus loin, il introduit les quantités F, G, H, en électromagnétisme ; comme nous les avons introduites précédemment, et il dit : « Ces fonctions F, G, H, ne sont autre chose que les composantes du potentiel vecteur, qu'on a déjà rencontré. » Enfin, un peu plus loin,ildit: « Nous avons démontré que les composantes de l'induction sont liées par les relations (i3) aux composantes du potentiel vecteur. » Nous donnerons plus loin cette démons- tration que Maxwell ri a pas donnée (275, 276). Appliquons maintenant les relations (13) que nous venons d'obtenir, pour transformer l'expression (10) du potentiel élec- trodynamique. Nous avions, cette expression peut s'écrire maintenant T=(la+mb+nc)d 249. Potentiel électrodynamique d'un système voltaïque constitué par deux circuits. — Le potentiel mutuel de deux circuits peut recevoir une expression très simple. Nous avons trouvé T =c(Fdx + Gdy + Hdz), avec F=cif(r)dx', - > (1) Maxwell, Traite d'électricité et de magnétisme, traduction française, t. II, § 40a, p. 32, § 589-592, p. 266-269, et § 616, p. 290. -