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1 Y 930 TABLE DE PLUSIEURS LETTRES ADRESSES SUJETS DES LE'l’Tl’lES DATES. LIEUX DE LA DATE. I DES l.E'l"I’llBS BT SOURCES. mette pas parmieux. ll faut leur bien mon- ` trcr quelles seraient les conséquences Tu- uestcs de leur division. Ori . — B. I. Fonds Béthune, Ms, 0009, fg]. B6.—Cop. Fonds Saint Germ¤in fr., Ms. 763, 3, fol. 270. —lmpr. Mémoires peur servir tt l'lIittoir¢ de Frmtcc, publiés A par MM. Michaud et Poujoulet, t. IV. p. H3, cel. 2. etc. 1608. 23 octobre. Fontainebleau. A MM. Jeannin et de Bussy. Si les archiducs rei’asent de zaiter pour le roi d’Es a ne, i convient e rc résentcr ^ aux Ètag âeur dernier mot, sandaengager davantage le nom du Roi ; mais s’ils accordent Yorticle concernant la liberté des Provinces-Unies, les Etats doivent s'en contenter et ne pas so diviser mal En propos. Le prince Maurice ne doit pas se laisser aller a des conseils désespérés, ` ainsi u'il semble vouloir le faire. La trêve cgt preierablo à la guerre ; mais le lloi a toujours euse que cette trêve serait Q au moins du soute ans, et X10!] pas de _ sept, ainsi qu‘il en a été question. Il n'est as nécessaire que dans I’artîcle relatifs lia liberte des Provinces-Unies on ajoute le mot toujour :. Orig. — B. I. Feucls Béthune, Ms. 9009, fol. G2. — Cop. Fonds Saint-Germain fr. Ms. 763, 3, fol. 333.—luxpr. Mémoire : pour servir à Vllistsirc de l-'rrmcc, publiés l par MM. Michaud et Poujoulnt, 2° série, t. IV', p. ltôl, etc. TL octobre. Ibidem. A Jean lc Fauconnicr, tréso~ Avis de_sa nomination comme commissaire rier genéral de l `rauce en aux Etats de Normandie. Il aura à s'y la génernlité de Caen. trouver et it s'employer avec les autres commissaires, alin que les subsides de mandës par le Iloi soient accordés. _ Orig. -Arch. de l'h6tcl de villa de Caen. 11 novembre. Iliidem, A MM. Jeannin et de Bussy. Continuerà fafvorîer la couclusionddelatrévm ` ui est ré cra le la re rise es armes, ' ~ llien qule certaines pcrsolitnes pensent le _, contraire. ll serait à propos que cette trêve fût conclue pour quinze ou pour vingt ans ; toutefois, si les archiducs ne veulent pas . Paccordcr our plus de dix ans, on peut se contenter de cette condition, et surtout ' puisqu’ils consentent ix traiter tanten leur nom qu'en celui du roi d'Espagne. Il con- vient de maintenir autant qu'1l est pos— I sible l’union parmi les Etats, car de la _ dépend leur sûreté et leur conservation. I Bien que le prince Maurice so soit déclaré I contre la trêve, cependant le lloi compte surlc respect qu’il ui porte et sur sa pru- dence, pour espérer qu’il reviendra En nn • meilleur sentiment et qu'il sera favorable _ au traité proposé. MM. Jeannin et de l Bussy sont charges do l’assurcr que le lloi i ne désirerait pas la conclusion de cette L trêve s'il ne pensait qu'clle dôt lui être l avantageuse. Il le prie de préférer ses con- , seils ix ceux des gens qui s'y opposent et