Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome7.djvu/945

Cette page n’a pas encore été corrigée

928 TABLE DE PLUSIEURS LETTRES . ADRESSES SUJETS DES LETTRES DATES. LIEUX DE LA DATE. I ons 1.¤‘r1‘nEs. nr soUncRS.

ensemble ils comploteut de priver l'Em i pcreur de sa couronne. Cop. - B. I. Fonds Bethune, Ms. 9009, f° 118. — Cop. Fonds Saint-Germain fr. Ils. 763, 3, P 415. - - Impr. Mémoires pour servir tt Pllistoire dc France, pu- bliés par MM. Michaud et Peujoulat, 2* serie, t. IV, p. 513, cle. IGOS. S Il juin. Fontainebleau. A la ville de Poitiers. Pour la réception de don Pedro de Tolède, ambassadeur d'Espagnc. Pareille à la lettre du même jour a la ville de Bordeaux, imprimée ci dessus. Ori ;. - Arch. municipales de Poitiers. 15 août. Paris. Aux treize cantons suisses. M. de Refuge, ambassadeur en Suisse, ré- . pondra au message que les cantons ont adresse au Roi. Orig. — Arch. du canton de Zurich. 31 ¤0ûl lltïdtvh A M.de Brèves, amsbasadenr Recommandation en faveur du frère Andre a Rome. Mourisseau, cordelier, qui se rend â Rome pour être favorisé en Vexercice de péniten- cier à Saint-Jean-de-Latran. Orig. — B. I. Bethune, Ms. 9020, fol. 15. . (dem. Ibidem. An même. Recommandation en faveur des cnlants du trésorier le Charron, qui font un voyage en ltalie. _ Orîg. — B. I. Béthune, Its. 9020, fol. 13. 18 septembre. Monceaux. . A MM. Jeanniu etde Bussy. Le Roi a appris le résultat de la déclaration * faite ar les ambassadeurs espagnols tou- cbantîes points relatifs ii la navigation des Indes et a la religion. Les Espagnols ont eu tort de s’être montrés mécontents des ouvertures faites par M. Jeannin sur une _ trêve ii long terme. Ils ont tacbé d'enga- ' ger le Roi à un traite d'alliance avec en ; ; mais S. M. ne veut entrer cn ndgociation il cet égard qu'nprès une conclusion sur les atiaires des Pays-Bas. ll est ai propos que les archiducs traitent avec les Etats comme avec des gens jouissant de leur liberté ; . mais, d'un autre côté, il ne faut pas que . ceux-ci compromettent le succès de la ne- gocistion, on insistant pour que le mot de souveraineté iigure dans le traite. Il vaut mieux que les Provinces-Unies renoncent au commerce de l’Espagne qu'}: celui de l'Inde. Si par vanité le roi d'Espagne refusait de ratifier le traité, il suilirait que les archi- ducs le tissent, pourvu qu’ils yy fussent autorisés par ce prince. Les Etats ne doivent consentir it aucun prix à aban- donner leurs places fortes. Du reste, s'ils se soumettent aux conditions proposées par M. Jeannin, et que leurs adversaires ne veuillent y souscrire, le Roi ne les abantlonnera oint, ainsi qu’il l’a déclaré à don Pedro alle Tolède. Mais il ne se pro- pose pas de leur envoyer de nouveaux se- cours, avant de connaitre leur réponse À