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r " Y NON IMPBIMLES DANS CE VOLUME. 9l5 ‘ ADRESSES SUJETS DES LETTRES DATES. LIEUX DE LA DATE. DES LETTRES. BT SOURCES. malade, viendrait ll décéder. Le sieur de la Serre, avocat du Roi, est chargé de lui donner, ainsi qo'aux échevins de Caen, de plus amples instructions a ce sujet. 1607. Cop. — Arch. de Pbbtel de ville de Caen. _ 11 ¤¤Pl ¤mb1'9 Pari'- Au grand-duc de Toscane. Pour le prier’d’a payer auprès de la signora comtesse Barclli Medici la recherche du mariage de sa fille, par M. de Marillac, gentilhomme de la chambre. Le Roi joint sa recommandation lx celle de la Heine, qui en a ecrit au grand-duc. K. B. Cette lettre doit rectifier la date des lettres à la grandewlucbesso de Toscane et a la comtesse Bardi, que nous avons placées approximativement vers le milieu de 1607, ci-dessus, pages 302 et 304. _ \ Orig. antogr.-Arch. des Médicis. 12 WPWmbl'° Ibidem- Àu lieutenant et aux conseil- Ordre réitéré de laire jouir la compagnie des , lers dela ville de Reims. arbalétriers de la Grande Couronne des privilèges qui leur ont été confirmés par le lloi, et de cesser de les inquiéter au sujet de ees privilèges, attendu qa’il a étéjaro- _ cédé a leur vérification, ainsi qu’il tait nécessaire. Orig. — Biblioth. de Reims, cabinet des Ms :. S¤Pî¢mb!`¢ - • • • • •• • A. ................... . . Remercîments a un personnage, titré de cou- sin, de sa bonne volonté envers le lloi, qui a appris avec satisfaction son succes dans ` une entreprise exécutée avec les galères » , de Florence. Cop. — Arch. de M. le marquis de la Grange. (F _ M°'"• • • • • • • • ' • • - Au Parlement de Toulouse. Ordre de procéder immédiatement a la véri- fication de l’édit portant création de quatre oflices de conseillers en la chambre es requêtes du parlement de Toulousc. Ibidem. 8 0¢lob|'¢ P"l‘ A MM, Jgnmiin et de Buggy, Le roi d'Angleterre poussera plutôt les Pays- Bas à la paix ’à la guerre, parce qu'il est persunde queilii France a plus d’intérêt a la dernière qu’à la prcmiène ; de plus, il veut se ménager l’amitié des archiducs et - du roi d’Espngne, afin de pouvoir renou, veler l'ancienne confédération des maisons d'Angleterre et de Bourgogne. Si le roi d'Angletcrre a refusé d'accepter la ligue défensive proposée avec les Pays-Bas et _ la France, ce n’est que dans la crainte de ` déplaire à l'Espagne ; cependant ce moyen était bon, ne fût-ce que pour avancer les négociations de la paix, en forçant le roi d’Espagne a prendre une résolution. Du , reste, cette ligue n’avait rien de bien me- naçant pour lui, puisqu'elle ne devait _ avoir d’eil’et que dans le cas où il serait l'a- grcsscur. Mécontentement du Roi au sujet _ dela manière d'agir des Etats, il ne desi- rerait pas seulement qu’ils promissent del ne pas faire la paix sans son conseil, mais ` encore qu'ils fengageassent it ne la faire 1 1 5 .