l
du dict evesque : et sur ce, je prie Dieu, mon Cousin, vous avoir en sa saincte garde. Escript à Paris, le xiiif jour de. janvier 1607. HENRY. ' BRULABT. [1607.-- 15 JANVIER].] ' Imprimé.- (Economies royales, édit. orig. t. Ill, chap. 8. [AU DUC DE SULLY.] _ NICD ûlïly, J6 VOUS €DVOy€ I.iOII]BIll€ POU? CB faict (16 l'l’lr dll Mülûê qu’il ne croit pas avoir despesché. Je vous advertis aussi que Murat 3 esté `l.l’OlS heures HVGC Illr lDCSdlglllCI‘CS POUT `lLI’Ol.lV€IÈ‘ IDOyCD. de IDC faire perdre Yestat que sçavés, ou, pour mieux dire, en faire leurs aflaires 2. Bon soir, mon amy. ° - HENRY. ` [1607;] — — 18 mavien. Orig. autographe. — Archives des Médicis, légation française, liasse 3. Copie transmise par M. le ministre de France à Florence. A MA TANTE ET BONNE NIEPCE LA GRANDE 'DUCHESSE U DE TOSCANE. MH THDLC et bonne Niepce, VOIIS I’CCOVI`éS ceste-cy Pal" le St de Ch3l.l ' Cette date nous est fournie par un ma- curant Yarrestation du duc d’AuveI‘gne, nuscrit de la Bibliotèque impériale, qui lui fut sans doute d’un grand secours dans contient une des premières transcriptions le danger où le mirent les poursuites susci- des œconomies royales avec des corrections tées cette année même par la vigilance de de la main de Sully. Sully contre les malversations des finan- Le billet était de la main du Roi. ciers. Il fut pourtant arrêté et mis à la Bas- “‘ Ce 11`est pas le seul endroit où Les- Lille ; mais, après quelque temps d’une diguières soit accusé d'une avidité assez détention rigoureuse et à la suite d’une rapace. Quant à Antoine de Murat, tréso— enquête, il se tira d'all’aire et se remit assez ` rier général des guerres, le notable ser- en crédit pour parvenirà être nommé con- vice qu'il avaitrenclu à Henri TV, en pro- seiller d`état en 1616. `
