justice. Vous Peres pareillement publier une ordonnance qui contien-
dra le commandement que vous fais, aflin que mon intention estant
entendue, elle soit mieulx observée et executée. Je prie Dieu, mon
Cousin, qu’il vous ayt en sa saincte et digne garde. Escript à Paris, le
xx" jour de mars 1610*.
' HENRY.
imutsar. i
` [1610.] — 23 mas. —I'°.
— Orig. autographe. — Cabinet de M. le général comte de la Loyère.
Imprimé. — (Economics royales, édit. orig. tt IV, p. I90.
A MON COUSIN LE DUC DE SULLY.
Mon amy, Suivant ce que je vous recommanday byer matin pour
le baron de Lux, je vous fais ce mot pour vous dire qu'important au
bien de mon service qu’il s’en retourne promptement en sa charge,
vousluy faictes payer comptant la somme de six mille livres par le
tresorier de mon espargne, et icelle employer dans-le premier comp-
tant que vous luy lierés expedler. Bon Jour, mon amy. Ce mardy ma-
tin XXll`]e mars, à Paris'. _
\ i ' HENRY.
_ [1610.--23 MARS.]-llm°. ‘
Orig. — Archives royales de Belgique. Copie transmise par M. Gâclnard, archiviste général.
- A MON FRERE L'ABCHIDUC UAUSTBICHE.
Mon frere, Fay receu par Jean d’Esselles, vostre faulconnier, pre-
sent porteur, les trois faulcons, le gerfault hagard et les deux tierce-
' Pareille lettre dut être écrite aux royales, celle qui [`ut adressée le 18 de
gouverneurs des autres provinces. Nous ce mois à Sully comme gouverneur de i
trouvons, au chapitre Ao des (Economies '
‘ Au dos est écrit de la main de Sully : .
« Le Roy, du Xxniimars 1610, pour faire bailler v1"‘** au baron de Luz. »
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LETTRES MISSIVES
