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DE HENRI IV.` 75 qui luy en pourroit estre faicte, laquelle ayant trouvée sans fondement, 'e me remets à vous d’ ourveoir ar delà en conformité de mon tl Y P P . intention. Je pr1e Dieu, mon Cousin, qu'1l vous ayt en sa saincte garde. Escript à Paris, le i'IJ° janvier 1607. _

HENRY.

, 11607. —¢ g JANVIER. Cop. # Archives de M, le marquis dela Grange. i ` [lt M. DE, LA COURT, ' r vnrimnn raesinnm ou PARLEMENT ne sonmsmns, ] Mons' de la Court, Nousenvo ons resentement ar delà le s' Za- Y P P met, pour tirer du couvent des Capucins de nostre ville de Rouen le frere François de Fiesque 1, qui s’y est nagueres rendu religieux, et le nous ramener, suivant la volonté de Nostre Tres Sainct Pere le Pape, pour traicter avec luy de chose qui regarde la gloire de Dieu etile bien de nostre srvice, ainsy que vous dira plus particulierement le dict Zamet. Par tant, donnés ordre ue le ere ardien du dict cou- 7 Cl P 6, vent satisface au commandement que Je luy en f3lS2, sans y apporter aulcune longueur ou remise, et vous me fcrés service tres agreable : priant Dieu, Mons' de la Court, qu’il vous ayt en sa saincte et digne garde. Escript à Paris, le ]X’jO11I‘ de janvier 1607. HENRY. — ‘ François de Fiesque, comte de La- Veneur, fille de Jacques Le Veneur, comte vague et de Bressuire, fils de Scipion de de Tillîères, baron de Carouge, dont il eut ‘ Fiesque, chevalier des ordres du Roi, et six enfants. I1 fut tué au siège de Mouton- ' d'Alphonsine Strozzi, persista quelque ban, à la tête de son régiment, en 1621. temps dans ce commencement de voca- ’ Cette lettre est accompagnée deïordre tion religieuse (voyez ci—après le billet donné au père gardien, dans les mêmes - écrit à la Reine versie 20 marsi. Il (init termes. ' toutefois par épouser, en 1609, Arme Le IO. —