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ay bie11 voulu advertir par ceste lettre, pour la part que je sçay que vous aves à mes bons succés et l’afTection que je vous porte ; de la continuation de laquelle je vous prie faire estat, et Nostre Seigneur qu’il vous ayt, mon Frere, en sa saincte et digne garde. Escript à Paris, le XXV1.]° jour de novembre 1609 ‘. Vostre bon frere,, '
A l609. — 27 NOVEMBRE. — II‘“°. . Orig. - Archives des Médicis, Christine de Lorraine, liasse V. Copie transmise par M. le ministre de France à Florence. A MA TANTE ET BONNE NIEPCE LA GRANDE DUCHESSE DE TOSCANE. Ma Tante et bonne niepce, Ayant pleu à Dieu delivrer la Royne ma ' lemme de sa grossesse, qui vient d’accoucber d’une fille, je me suis romis ue la nouvelle vous en seroit auss a reable ue `estime l’al`- P q Y S il .l fection ue vous nous ortés. Je m’en re’ouis donc avec vous, en il P .l _ vous asseurant de la continuation de ma bonne volonté et du desir que _i’ay de la vous tesmoigner et à toute vostre maison : priant Dieu, ma Tante et bonne niepce, qu’il vous ayt en sa saincte et digne garde. Escript à Paris, le xxv1_]° de novembre 1609. i i HENRY. aaorsnr. 1609. — 2 7 Noviznnas. — I[I°*°. p Qrig. — Archives des Médicis, légation française, liasse 3. Copie transmise par M. le ministre de France à Florence. _ A MON COUSIN LE GRAND DUC DE TOSCANE. ` Mon Cousin, Le chevalier Guidi nfayant taict entendre avoir per- mission de vous aller trouver, pour, aprés avoir receu vos comman- ‘ Une lettre semblable fut adressée le même jour au prince de Piémont.
