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DE HENRI IV. 797 mant les asseurances de¤l'amitie que je vous porte, l’€Sll11]€ que je fais de la vostre et l’interest que je veux avoir à tous vos bons et man- — ' vais succés, pour les raisons que vous dira plus amplement le dict cardinal ; dont vous le croirés comme moy-mesme : et je prie Dieu, y mon Cousin, qu’il vous ayt en sa saincte et digne garde. Escript à Paris, le Xllje jour de novembre 1609. I ~, HENRY. _ anuranr. U 1609.- 1 3 NovEMBaE.¥II“‘°. I Orig. — Archives des Médicis, légation française, liasse V. Copie transmise par M. le ministre ' ' . de France à Florence. A MA COUSINE LA GRANDE DUCHESSE DE TOSCANE. L Ma Cousine, Envoyant vers mon "cousin le grand duc le cardinal de Viscenze, sur les occasions qu’il vous dira, je luy ay donné charge de faire envers vous les mesmes oflices, en vous asseurant de la bonne et parfaicte amitié que je vous porte. De quoy je vous prie -le croire ‘ comme moy—mesme, et Nostre Seigneur qu’il vous ayt ; ma Cousine, en sa tres saincte et digne garde. Escript à Paris, le x11_]° jour de no- vembre 1609. _ HENRY. , l6()9. — 23 NOVEMBRE. Orig. - Papiers provenant des anciennes archives de Lyon. Communication de M. Dupasquier. A NOS TRES CHERS ET BIEN AMEZ LES PREVOSTS DES MARCHANS. ESCHEVINS ET HABITANS DE NOSTRE VILLE DE LYON. Tres chers et bien amez, Nous vous avions cy—devant escript, comme ayans considere qu’il estoit fort important pour nostre service et le bien de nostre ville de Lyon, de continuer le tresorier general du u Perron en la charge de prevost des marchands de la dicte ville, que q _ vous eussiés à le nommer pour les deux années prochaines, et luy avions ordonne de Yaccepter ; mais nous ayant laict ses excuses de