gion, je vous escris ceste lettre, aliin que, vous estant informé du
merite du dict Benvatti et de llalïection que llon m’a laict entendre
que luy et les siens ont tousjours portée à mon service, vous faciès
à l’endroict de Sa Saincteté les ofhces que vous estimerés convenables
pour luy moyenner ceste grace : et je prie Dieu, Mons" de Breves,
qu’il vous ayt en sa saincte et digne garde. Escript à Paris, le
XXVII.]': jour d'octobre 1609.
U
A ~ nnurinr.
[l609.]—3o OCTOBRE.
Orig. autographe. — B. I. Fonds Béthune, Ms. 9l3S, fol. 18; — et cop. Suppl. fr. Ms. 1009-4.
A MADAME DE MONGLAT.
Madame de Monglat, Vous recevrés ccste—cy par le s"Vincent Ser-
viati, qui retourne d’ambassade d’Angleterre, de la part de mon cou-
sin le grand duc de Toscane ; lequel ayant desire de voir mes enfans,
je vous en ay bien voulu advertir par ceste—cy, comme chose que je
desire. A Dieu, Madame de Monglat. Ce x.xx° octobre, à Paris.
y HENRY.
i 1609. — 3 1 OCTOBRE. — l'°.
Orig. — B. I. Fonds Béthune, Ms. 9020, fol. 83.
A MONS“ DE BREVES,
consnxttna un Mor : comm. msiwr nr Mon mnissinnun A nom ;.
Mons' de Breves, Tescris presentement à Nostre Tres Sainct Pere
le Pape, et au cardinal Borghese, le contentement que _j’ay eu du choix
que Sa Saincteté a faict de la personne du general des Cordeliers,
pour la cognoissance qu’il m’a donnée pendant le sejour qu’il a faict
pres de moy des bonnes et louables qualitez qui sont en luy. Je le
recommande aussy à l’un et à l’aultre, et vous fais ceste-cy, alin qu’aux
occasions qui se presenteront de favoriser son bien et advancement,
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