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DE HENRI IV. 785 mes dicts alliez, qui ont eu recours à moy. Et si pour leur rendre ce debvoir d’amitié et confederation, et les proteger contre ceulx qui attenteront contre eulx par voye de faict, il advient que le feu de la _ guerre, que vous augurés, se rallume en la Clirestienté, ceux-là en seront responsables envers Dieu et les hommes, qui auront favorisé I’l1'ljl1Sl.lC€ de ceste cause. Pour mon regard, comme d'un costé je ne me lasseray jamais de bien faire au public, de l’autre je ne manqueray jamais aussy à la foy que j’ay donnée à mes alliez, en une cause equi— _ table, et seray au reste tresayse de continuer à vous tesmoigner en toutes occasions ma bonne volonté, et combien j’afIectionne le bien de la Germanie et la justice en toutes choses. Je prie Dieu, mes _ Cousins, qu’il vous ayt en sa saincte garde. Escript ai Fontainebleau, ‘ _ le‘ jour d'octobre 1609. . HENRY. . ' [11609.] — 16 OCTOBRE. ' Imprimé.- OEconomie.s royales, édit. orig. t. III, ch. xxv. [AU MARQUIS DE BOSNY ‘.] ` Mons' le marquis, Je vous fais ce mot pour vous dire qu’inconti- nentque vous l’aurés receue, vous faciés delivrer aux comediens italiens la Somme de six cens livres, sur ce qui leur est deub des mois du passé, afin qu’ils me viennent trouver aussy tost et se rendent icy samedy au soir, d’autant que je veux qu’ils jouent devant moy di- ‘ Le quantième est effacé à cette place, Maïence, Treves et Cologne, du xv' oc- mais on lit au verso de la feuille : « Double tobre 1609. ¤ de la lettre du Roy aux ellecteurs de _. ' Maximilien de Béthune, marquis de grand maître de l’artillerie et de surin- Bosny, prince d’Enricl1emont, baron de tendant des fortifications et bâtiments de Bontin, capitaine de cinquante hommes France ;maisil mourut sept ans avant lui, d,8I'moS, était le seul fils que Sully ait eu en 163l ;. Ce fut son fils qui devint le se- de sa première femme Anne de Courteney. cond duc de Sully. Il succéda à son père dans la charge de nerim on mmm 1v.—vn. ( ’ gg