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LETTRES MISSIVES


les autres qui sont entretenus au dict pays. De quoy je vous ay bien voulu advertir par ceste lettre, ailin qu’estant informé de mon inten— tion, vous donniés ordre qu’elle soit eilectuée ; et VOIIS me levés ser~ vice tres agreable : priant Dieu, mon Cousin, qu’il vous ayt en sa tres _ saincte et digne garde. Escript à Tours, le v° jour d’octobre 1609.

HENRY.

on maurvnmn. ` [1609.] — 8 oc1rosr.E.— l'°. • Imprimé. — OEoonomies royales, édit. orig. t. III, ch. 35. [AU DUC DE SULLY.] _ i 1 Mon amy, Desirant prendre avec vous et m' le chancelier resolu— tion sur plusieurs choses qui importent le bien de mon service, vous ne ferés Faulte de vous rendre icy lundy prochain avec mon dict s' le chancelier, auquel _i’escris. N'oubliés de m’apporter, quand vous viendrés, mille pistoles pour jouer ; car je n’en ay point. A Dieu, mon amy. Ce vnf octobre, à Fontainebleau. HENRY. [1609. — 8 ocrosnn.] — II'". Orig. autographe. — Archives royales de Sardaigne. Copie transmise par M. Yambassadeur. A MON NEPVEU LE PRINCE DE PIEDMONT. Mon Nepveu, Vous recevrés ceste lettre parles mains de mon cousin le cardinal_ de La Bochefoucault, auquel _j’ay commandé de vous voir en passant pour s’acheminer à Home. Il vous asseurera de la bonne et parfaicte amitié que je vous porte, en vous declarant aussy Yestime que je fais de vostre personne : de quoy vous le crerés, mon Nepveu, comme moy mesme. " V h Vostre bon oncle,

HENRY.

‘ Cette lettre était de la main du Roi. _