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qu’ils ont laicte pour prendre leu1 resolution. Vous me ferés plaisir de continuer de me donner advis de ce qui se passera d'important en vostre evesché ; vous asseurant que jlen ay soin., non pas seule- ment pour ce qui regarde mes allaires, mais aussy pour vostre propre interest, qui m’est tres recommandé. Au demeurant vous ne debvés doubter que je n’aye tres agreable que vous rendiês a mon frere le duc de Lorraine la visite que vous aves receue de luy : et sur ce je prie Dieu qu’il vous ayt, mon Cousin, en sa saincte et digne garde. _ Escript à Paris, le xxf jour de septembre 1609. '
rorxma. _ [1609.]-- 21 sEr'rEMBaE.—lI“‘°. _ Imprimé.` — œconomies royales, édit. orig. t. IV, p. 186. ‘ [AU DUC DE SULLY.] ‘ Mon amy, Je vous prie faire delivrer à celuy qui vous rendra ceste-cy la somme de trois mille livres, de laquelle j’ay faict don à la damoiselle des Essars, et cent escuz à ce pauvre garçon Saubion qui l’a tousjours servie et à qui elle ne donne rien, et vous em- ployerés le tout au premier comptant que vous ferés. A Dieu, mon A amy. Ce xxf septembre, à Ptis‘.
' Cebourg, qui appartenaitau Hurepoîx, en se rendant à Fontainebleau, ou sa pré- dans l’Ile-de-France, estlcoinpris aujour sence est déjà constatée par la lettre sui- d’huidansle département deSeine et-Oise. vante. Il s'arrêtalt à Ris ou à Corbeil, sui- ’ G`était souvent unedes stations de Henri IV vant l'heun e de son départ de Paris.
