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_ DE HENRI IV. i 759 vostre du xxvii1° du mois passé mla esté rendue par celuy que vous en avés chargé ; duquel ayant entendu ce que luy avés commis pour me ' dire, touchant les aflaires de vostre evesché, _j’ay pris la resolution dont il vous aura peu advertir, qui est celle que vous me conseillés, vous estimant et recognoissant si sage et prudent et si allectionné au bien de mes alïaires, que je pense ne pas trop deierer à vos advis, lesquels vous pouvés estre asseuré qu’en toutes occasions je recevray tousjours en tres bonne part, ainsy que plus particulierement vous dira mon dict cousin,. suivant la charge que je luy en ay donnée, et de conferer avec vous sur le subject des dictes afiaires de vostre evesché, et le bon ordre que vous y establissés pour le service de Dieu et le bien des aH’aires d’icelny ; m’asseurant que le sejour de six se- maines que vous voulés faire à Vic y sera encore de quelque utilité, et quleni toutes choses vous continuerés comme vous avés bien com-; . mencé. C’est à quoy je vous convie, mon Cousin : priant Dieu favo-_ riser vos louables intentions et vous avoir en sa saincte et digne garde. Escript à I\/lonceaux, le dernier jour d’aoust 1609. i _ HENRY. _ _ roman. 1609. + 31 Aoûr. — III"". Orig. — B. I. Fonds Béthune, Ms. 9020, f`0l. 69. ` A MON COUSIN LE CARDINAL DE GIVRY, I v1cn mm1 ncrnzm mas AFFAIRESIDE rance au comm on nome. Mon Cousin, Je vous prie, suivant ce que _i’escris à Nostre Sainct Pere le Pape, interceder, vous employer et tant faire envers Sa Sainc- _ teté, que son bon plaisir soit à ma nomination, priere et reqneste, pourveoir sœur Jeanne de Noaillesl, religieuse professe de l’o1 dre 1 Jeanne de Noailles, quiadevint, par de Jeanne cI'Espagne. Il y a dans la liste suite_ de cette présentation, abbesse de des abbesses de ce monastère deux autres Lcime, était fille de Henri de Noaillît abbesses de la même famille.