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LETTRES MISSIVES


en Normandie, vaquant par la mort du s'l\/larguerit, que _j’ay accordé au parent du s' des Yveteaux pour la dicte somme, vous en faciès bailler au s' Edouard, portugais, cinquante et un mille livres, sur et tant moins que je luy dois du jeu, et les neuf mille restans aux heri- tiers du dict deH’unct Marguerit, suivant le don que je leur en ay faict en consideration des services de leur pere, employant ces deux J sommes dans le premier comptant que vous Ferés au tresorier de - [ mon espargne. A Dieu, mon amy. Ce xx° aoust, à Monceaux. HENRY. ` [1609.] — 20 Aoûr. — Ilm. Imprimé. — Economics royales, édit. orig. t. III, ch. 33. ’ § A A [AU DUC DE SULLY.] Mon amy, Je vous envoye la lettre cy-enclose que l’on m’a escripte. . L’all’aire est d’importance, et me semble estre besoin d’y pourveoir ; mais je ne resouldray rien que jene vous en aye communiqué et pris vostre advis. L’escripture en est contrefaicte et le seing supposé. Je vous diray qui me l’escrit, lorsque je vous verray, et ce que _j’en_sçay _ de plus. Quant à l’alIaire ou vous pensiés avoir si bien travaillé, il ne s’en est rien ensuivy dont _['aye occasion d’estre satisiaict. (Leste bonne . disposition où vous pensiés l’avoir mise n’a pas duré six heures ; et, ce matin .......... 1. Je vous deschargeray mon cœur de tout, à la premiere veue, comme à mon plus confident serviteur, que [aime au - tant que vous sçauriés desirer. A Dieu, mon amy. De Monceaux, ce xx° aoust. ` . ' HENRY. , - I Ces POIDIZS SC I.I’OI.`lVCI'lt ainsi d8IIS les WCOYIOIHICS T'Oy(ll£’$.