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‘ 70lL LETTRES MISSIVES duels avec son advis et des ofiiciers de ma Couronne qui sont icy, je le prie de se rendre demain à dix heures, afin que avec luy j’advise du lieu où je feray Yassemblée et de ceulx que _j'y appelleray. C’est pourquoy je vous prie de ne le retenir davantage et me mander par le dict s" de Sainct-Geniés de vos nouvelles. A Dieu, mon compere, lequel je prie vous avoir en sa garde. Ce Vlljc may, à Paris, 1609. HENRY. C 1609. — g MA1. Ong. - B. 1. Fonds Béthune, Ms. 9020 1*01. .47. A MONS" DE BREVES, CONSEILLER EN MON CONSEIL D'ESTAT ET MON AMBASSADEUB. A ROME. Mons" de Breves, Vous verres par le memoire qui sera cy-enclos L les raisons qui peuvent fortifier Pinstance que m’a laicte l’abbé de Saincte—Genevieve, d’employer ma recommandation à l’endroict de Nostre Tres Sainct Pere le Pape, pour luy faire obtenir l’annexe à là meuse abbatiale de la dicte abbaye, du prieuré et cure Sainct—Estienne du-Mont, pour estre deservis à l’advenir par un religieux de la dicte abbaye. Par tant, comme vous serés instruict par le dict memoire du merite de ceste supplication, vous vous employerés envers Sa Sainc- teté pour luy moyenner ceste grace, qui depend de sa seule faveur et de la cognoissance que vous luy donnerés qu’elle sera tousjours tres i 'bien employée, pour les merites du dict abbé que je desire gratifier : priant Dieu, Mons' de Breves, qu’il vous ayt en sa saincte et digne (garde. Escript à Paris, le ix“ jour de may 1609. _ HENRY. i nuurmr.