Je. prie Dieu, Mons' d’Esdiguiere?, qu’il vous ayt en sa saincte et
digne garde. Escript à Paris, le mf may 1609.
[1609.] — Z1 MAI. — III'". Orig. autographe. — Cabinet de M. le général comte de la Loyère '. i _, Imprimé. — OEconomies royales, édit. orig. t. IV, p. 185. i A MON COUSIN LE DUC DE SULLY. Mou 'amy, .l’ay permis à l’abbé' de Cesy d’aller trouver le comte _ d’Auvergne, pour luy parler de ses alïaires, pour une fois seulement. De quoy je vous ay bien voulu advertir par ce mot, lequel n’est à aultre [in. Bon jour, mon amy. Ce 111]* may, à Paris.
` [1609]. - 6 Mn. Imprimé. — (Economies royales, édit. orig. t. III, ch. S2. [AU DUC DE SULLY.] Mon amy, Je vous fais ce mot pour vous dire que vous ne faciès faulte de faire delivrer incontinent par le tresorier de mon espargne à celuy qui vous ira trouver de la part de ma sœur la duchesse d'An- `goulesme, les dix mille livres que j’ay données à ma cousine de Montmorency pour faire ses habits de nopcesl, et employer la dicte W ‘ Au dos est écrit, de la main de Sullyzi parler l’abbé de Chezy au comte d’Au- «Le Roy, du Z ; may 1609, pour laisser vergne.» " La Reine donnait en outre : pour dix- le dict Messier, et promets bailler icelles huit mille livres de pierreries, comme le à la dicte dame pour les representer à la constate ce recu de la duchesse d’Angou- Royne et en remercier tres humblement lême ; «Je certifie que Messier, orfevre, Sa 'Majesté. En foy de quoy j’ay signé la clemourant sur le pont au Change, m’a presente de ma main. A Paris, le XXlX° fourny et livré pour la somme de dix-huict may 1669. mille livres de pierreries pour madame la DMNE DE FRANCE-" princesse, desquelles j'ay faict prix avec
