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nopces que nous avons deliberé d’en celebrer, au temps que vous . fera entendre le porteur de la presente. Vous obligerés de plus en plus les mariei, et ferés un singulier plaisir à — Vostre bien bon frere, HENRY. i ` Ce xxv1_]° avril, à Fontamebleau. . 1609. — 27 Avait. — II". ‘ Imprimé. — OEconomie.s royales, édit. orig. t. III, ch. 32. [AU DUC DE SULLY.] Mon Cousin, Le deputé de mon cousin le duc de Lunebourg et de Brunsvik, orteur de la resente, m’a ant fait su lier de com- P P Y P mander qu’1l SOIÉ paye de sept mille escuz qu il pretend estre deubs au dict duc, attendu la modicité de la somme, je vous fais ceste-cy, alin qu’estant informé du merite de peste pretention, vous y faciès pourveoir autant favorablement que mes alliaires le pourront porter ; dont je me remets en vous : priant Dieu, mon Cousin, qu’il vous ayt en sa saincte et digne garde. Escript à Fontainebleau, le xxvif jour d’avril 1600. HENRY. norer mes nopees de vostre presence, bienveillance, qu’il vous plaira me de- comme je sgay que ce sera en sa couside- partir en ceste occasion, et Yadjousteray ration seule que je reeevray eeste faveur aux autres que vous a pour le mesme s'il vous plaist en prendre la peine, aussy, subject, Monsieur, je n’entreprendray pnaintenant u Monsieur, que de vous supplier tres humblement _ 5 ., . «Vostre tres humble serviteur, de cr re que _]e m estudnray de me rendre digne', par toutes sortes d'obeissances et “CESAP‘ DE VANDOSME de services, du tesmoi a e de vostre •=A Paris, ce S ma 160 .» 8** S Y 9
