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Beringen pour vous prierde nfenvoyer par luy les autresvdictes cinq cens pistoles, pour ce que j’en ay presentement allaire. Je vous verray tantost et vous en diray davantage. A Dieu, mon amy. Ce Vlljc avril, ‘ " à Paris.
1609. — g avan,. 'Cop. — Archives dela ville de Poitiers, registres des délihtirations. Envoi de M. Rédet, archiviste _ du département de la Vienne.
A NOS CHERS ET BIEN AMEZ LES MAIRE, PAIBS, ESCHEVINS, BOURGEOIS. MANANS ET HABITANS DE NOSTRE VILLE DE POICTIERSL
Chers et bien amez, Ayans nous-mesmes entendu vos depputez, nous avons faict donner en nostre conseil l'arrest portant reglement, qu’ils vous feront voir, sur l’election de vostre maire ; et encores que le desordre qui s’y est faict jusques icy et la consequence de ceste affaire nous donnast beaucoup de subject d’y apporter davantage ide changement, neantrnoins, postposant Yobservation plus estroicte de vostre debvoir ia la consideration de vos prieres, nous avons voulu simplement [remedier àj la confusion de vos procedures et non de- roger à vos coustumes, bien `qu’il y en ayt qui soyent aucunement extraordinaires. La supplication que nous en a faicte nostre tres cher let bien amé cousin le duc. de Sully, et Tasseurance qu’il nous a . donnée de vostre devotion, oultre la cognoissance que nous avons tousjours eue de vostre lidelité, sont les principaulx subjects qui nous ont porté à vous donner ce contentement, duquel nous esperons I aussy que vous aurés telle recognoissance que vous devés, et que vous nlobmettrés jamais aulcun debvoir qui puisse concerner le bien de nostrc service. Donné à Paris, ce IXe avril 1609. i _ C i j p HENRY. _ roman.
