Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome7.djvu/679

Cette page n’a pas encore été corrigée
662 -
LETTRES MISSIVES


[1608.] - ~ Xlllm'. Orig. autographe.- Biblioth. de l’ArsenaI, Mss. Histoire, n° 179, t. II. [A LA MABQUISE DE VEBNEUIL.] ll faut dire vray, c’est moy qui n’ay point esté d'advis que vous menissiés icy nostre fils, et commandé à m' de Scully de vous dire que ma femme ne le vouloit pas ; bien, si vous vouliés, nostre fille. Voilà pourquoy vous ne vous en debvés prendre qu’à moy, et ne pouvés appeller cruaulté que l’on vous prive de la veue de vos en- fans, uis ue vous mesco noissés l’ouvrier, ui est tousours lus P (I S il J P excellent que l’0uvragc. Venés demain, car aultrement je sera y ol- fensé contre vous, que je baise un million de fois. [1608.] — XIVM. Orig. autographe. — Biblioth. de l'Arsenal, Mss. Histoire, n° 179, t. II. _ [A LA MARQUISE DE VERNEUIL.] Si vostre amour est de l’escl1antillon que vous m’avés envoyé, mes afiaires iront bien, mais depuis quelques ans vous me l’avez faict trouver de la taille du vidame du Mansl, long et maigre. Je suis ar- rivé ayant eu tout le plaisir qu’il se peut. Je vous supplie, augmentés mon contentement. au lieu de le troubler. Vous le pouvés, vous le devés ; il fault e vous le vouliés. Sur ce salutaire conseil, `e linira qu J Y en vous baisant un million de fois. [1608.] — XV"':. Qrig. autographe. - Biblioth. de l’Arsenal, Mss. Histoire, u° 179, t. ll. i [A LA MARQUISE DE VERNEUIL.] Vous dictes que vous ne sçavés plus que faire pour me co1Qter. ' ' Cest Nicolas d’Angennes, sur lequel 158o‘(t. I", p. zôli); on Fappelait alors nous avons déjà donné une note à l’année M, de Rambouillet. Il ne prit le titre de