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_ ~ DE HENRI IV. 657 [1608.] — Ir. Orig. autographe. - Collection de M. Alexandre Martin. Communication de M. F. Feuillet . cle Conches. C [A LA REINE.] Mon cœur, J’ay prins ce soir le cerf à nuyct lermante. Nos enfans se portent bien, Dieu mercy, et sont fort jolys. Je suis fort morfondu

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_ Je demeureray demam 1Cy, et vendredy _]’1ray disner avec vous, s`1l plaist à Dieu. Je vous donne le bon soir et mille baiseû. [1608.] -T 11¤= =.° Orig. autographe. — Collection de M. F. Feuillet de Conches. [A LA REINE.] Mon cœur, Je m’en vais monter à cheval pour m’en aller à Beau- _ mont. Je vous manderay ce soir ce qui sera passé ceste journée. Aprés demain je vous verray sans faillir, s’il plaist à Dieu. Je suis bien aise que nos enfans soyent hors de Paris. ll fait icy un extresme froid, qui ne nous fait pas toutesfois demeurer au logis. Bon soir, mon cœur, je te baise un million de fois. [1608.] - III">°. Orig. autographe. — Biblioth. de l’Arsenal, Mes. Histoire, n° l79, t. Il. [A LA MABQUISE DE VERNEUIL.} ’ • Voicy ma rente que je vous paye. Je les paye toutes par an, vous le sçavés il y a longtems. Tout nostre peuple d’icy se porte bien, Dieu mercy. Mandés-moy si vous pourries venir a Marcoussy, puis je vous manderay pourquoy je le veulx sçavoir. Aimes-moy bien, moin ' Nous terminons cette année par toutes 11'indique la trace d'un quantième pour celles des lettres écrites à la marquise de les reporter à telle place cle l'année avec " Verneuil en 1608, dans lesquelles rien plus de précision qu'à telle autre. _ I.ET‘I'IlES DE HENRY IY V’H