D . DE HENRI IV. 639 quelle il l'advertissoit de sa maladie, mais s’il luy veut envoyer une commission pour la tenue des estats de Normandie, qu’il esperoit . que dans quinze jours il les pourroit tenir. A Dieu, mon amy. Ce 1“’ novembre, à Fontainebleau.
_ [1ô08.]— 2 NOVEMBRE. Imprimé. — œconomies royales, édit. orig. t. III, chap. 25. _ ' [AU DUC DE SULLY.] Mon amy, Lorsque mon Prere le duc de Mantoue partit d’auprés de moy, il me pria de faire bailler à son homme les quatre mille pistoles que je luy devois. C’est pourquoy je vous fais ce mot par Edouard, qui vous rendra ceste-cy, pour vous prier de les luy faire ` delivrer aussitost, d’autant qu’il a faict estat de les avoir le quatriesme de ce mois. Vous ferés faire les ’depesches necessaires ; ce pendant ' ous ne aisserés e es aire a er. ieu, mon am . e 1 no- ‘ v l d l f p y A D v C _]° vembre, à Fontainebleau., . ' HENRY. . ` 1608. >— lt Novnunms. -1***. — Orig. —'Arch. du duc de la Force. Imprimé. — Mémoires de la Force, publiés par M. le marquis de la Grange, t. I". p. (482. fA M. DE PABABEBE.] Mons' de Parabelle, J’ay_entendu les raisons pour lesquelles vous desirés estre deschargé avec madame de Parabelle, vostre femme, de la arde de la damoiselle de Saveille, sur le commandement ue . (I ‘ ‘ • 9 r • Je vous ay_l’a1ct, que ce porteur m a representees de vostre part, mais je persiste à desirer de vous ce service. Au. moyen de quoy, je vous K prie de vous y resoudre, car l’auctorite de vostre charge, et creauce que vous aves par delà, seront causes que toutes choses passeront plus doucement. Mon intention n’est pas d’empescher que le fils du
