ils m’ont supplie. A Dieu, mon amy. Ce xxv1J° octobre, à Fontaine-
bleau '.
[1608.] — 28 oc roBn1 :.—I'°. Imprimé. —~ (Economic.; royales, édit. orig. t. III, ch. 25. [AU DUC DE SULLY.] Mon amy, .l’estime que vous aurés sceu comme m' d’Espernon est en colere contre Montignynje crois qu’il a raison. Toutesfois, s’il vous va trouver, adoucissésle le plus que vous pourrés, car, comme vous s aves, il veut estre tous’ours le maistrel. Ceste-c n’est our aultre 9 .l Y P 'subject, vous ayant hier escript amplement par Bullion. R Dieu, mon amy. Ce xxv11_]° octobre, à Fontainebleau. A V HENRY. ‘ Au dos est écrit de la main de Sully : i • Le Roy, du 27 octobre 1608, pour Arles et les francs Iiefs. » ' ' Malgré les griefs très-fondés que écrit à une époque où le pouvoir du `Roi Henri IV avait contre le duc d'Épernon, était si bien consolidé, les ménagements il ne cessa jamais de lui témoigner une qu’il recommande à Sully pour les défauts déférence tout à fait extraordinaire ; et l’on mêmes du duc. peut remarquer dans ce billet confidentiel, i
