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et au Sainct Siege, nous luy avons commandé de vous visiter de nostre part, passant en vostre ville, et vous asseurer de la continuation de ` la bonne volonté que nous vous portons. De quoy nous remettans à . ‘ ce ue vous dira nostre dict ne veu, vous lu adousterés sur ce subject pareille creance qulà nous mesmes, qui prions Dieu, Tres chers et bons amys, qu’il vous ayt en sa saincte et digne garde. Escript à Paris, le xv11_|° Jour dloctobre 1608.

HENRY.

BRULART.

[1608.] — 20 octobre.

Orig. autographe. — B. I. Fonds Béthune, Ms. 9138, fol. 21.

Cop. — Suppl. fr. Ms. 1009-4.

A MADAME DE MONGLAT.

Made de Monglat, Ayant permis à mme de Verneuil de voir mes enfans, je vous en ay bien voulu donner advis par ce mot, aflin que lorsqu’elle les envoyera querir, vous les luy envoyés à Suresne, ou ils pourront demeurer avec elle trois ou quatre Jours, comme chose que je veux. A Dieu, Mad° de Monglat. Ce xx° octobre, à Fontainebleau.

HENRY.

[1608.] — 22 octobre.

Imprimé. — OEconomies royales, édit. orig. t. III, ch. 25.

[AU DUC DE SULLY.]

Mon amy, Je vous fais ce mot pour vous prier d’adviser avec mr le chancelier quels commissaires. de mon conseil ou aultres seroient propres à estre deputez, pour, avec ceux qui le seront de la part de mon frere le duc de Lorraine, pourveoir sur les differends qui naissent journellement pour l'explication et execution du traicté de l’an soixante-quatre, touchant les confins du pays Messin, afin de