' DE HENRI IV. 615 prie Dieu qu’il l’assiste' et qu’il vous ayt, mon Cousin, en sa saincte garde. Escript 'à Paris,.le X1]? jour d°0ctobre 1608.
. A nm nimrvimr. 1608. —— 13 OCTOBRE-. Orig. — B. I. Fonds Béthune, Ms. 9020, fol. 23.
A MONS“ DE BREVES.
eousnirrnxi EN Mou cossnu. D’ESTAT nr Mou Ammissinnun A noms. Mons’ de Breves, Je n'ay pas voulu renvoyer par delà le camerier . d’Abain, pour continuer à servir Nostre Tres Sainct Pere le Pape,, sans tesmoigner à Sa Saincteté le contentement que j’ay de la bonne conduicte qu’il a tenue pendant qu’il a demeuré pres de moy, comme je fais par la lettre que j’en escris à Sa dicte Saincteté, dont vous aurés _la copie ; laquelle vous luy rendrés en luy presentent le dict d’Abain et luy donnant asseurance de festime que je fais de ses ` ~ vertus et probité, pour lesquelles l'ayant destiné à l’evesché de Poic- ' tiers, vous ne faudrés de le recommander de ma part à Sa dicte Saincteté, à son arrivée, et Yassister, en toutes occasions, de ce qui dependra de vous, pour favoriser son bien et advancement. Je prie Dieu, Mons' de Breves, qu’il vous ayt en sa saincte et digne garde. Escript à Paris, le x11_]° jour d’octobre 1608. HENRY. ` nuuntnr. 1608. —l~ il ; oqonnn. «I~. _ Cop. — B. I. Fonds Béthune, Ms. 9021, fol. 57 verso. i 4 [A M. DE BREVES.] Mons' de Breves, Sur la priere que m’a faicte ma cousine la du- chesse Sforze d’employer ma faveur à Yendroict du grand maistre de Malthe our faire habiliter son fils à tenir des commanderies dans P .
